La Fondation 30 Millions d’Amis – L’animal, un bienfait pour les patients
Parce qu’il apporte du bonheur, du réconfort, de l’énergie, l’animal est bien plus qu’un compagnon : il aide à vivre et à guérir.
La Fondation 30 Millions d’Amis veut convaincre les établissements médicalisés du rôle thérapeutique de l’animal auprès de leurs patients et surtout, éviter la solitude et le chagrin des personnes âgées qui doivent se séparer de leur animal pour intégrer une maison de retraite.
L’animal diminue le stress : déjà en 1982, le Docteur Aaron Katcher montre, lors d’une expérience devant les caméras de 30 Millions d’Amis, que caresser un animal diminue le stress et fait baisser la tension artérielle. L’animal stimule : s’occuper d’un animal oblige à rester actif par le biais de la promenade, des soins à prodiguer, des repas à donner…
Ces activités aident également à se repérer dans le temps et à rester vigilant (étude du Docteur Marcos Einis). L’animal est anti-dépresseur : aux Etats-Unis, une étude dirigée par le Dr Karen Allen de l’Université de l’Etat de New York prouve que les animaux font obstacle au repli sur soi et à la dépression.
Favoriser la présence des animaux dans les hôpitaux et les maisons de retraite.
Tous les spécialistes s’accordent à dire que la présence d’un animal aux côtés d’une personne âgée ou malade ne peut être que bénéfique. Cependant, l’accès des animaux de compagnie dans les lieux de vie comme les hôpitaux et les maisons de retraite reste le plus souvent interdit. Depuis sa création, la Fondation participe à l’évolution de la réglementation dans ce domaine et encourage les initiatives qui favorisent la présence d’animaux auprès des personnes âgées et hospitalisées.
Présence animale dans les structures médicalisées : plusieurs solutions
Différents moyens peuvent être choisis pour intégrer les animaux de compagnie dans les hôpitaux et les maisons de retraite. Si la Fondation 30 Millions d’Amis les encourage tous, sa priorité est de permettre aux personnes âgées sur le point d’intégrer une maison de retraite, de le faire sans avoir à se séparer de leur animal.
L’animal personnel :
C’est celui qui accompagnera son maître jusqu’au bout et qui doit être admis avec lui dans l’établissement.
L’animal visiteur :
Il peut s’agir de la famille ou des proches qui viennent voir le résident d’une maison de retraite, ce genre de visite étant très rare dans les hôpitaux français alors que les pays anglo-saxons y ont de plus en plus recours. Cette solution ne pose pratiquement jamais de problème et permet aux patients de voir leur propre chien ou chat.
Des maîtres bénévoles peuvent également se rendre régulièrement dans ces établissements, accompagnés d’animaux sélectionnés pour leur calme et leur douceur.
L’animal collectif :
L’établissement accueille un animal qui appartient à tous les résidents. C’est une sorte de mascotte. Elle a un rôle social et affectif, intervient dans des animations ou encore peut devenir co-thérapeute.
Les parcs animaliers :
Certains hôpitaux et maisons de retraite ont la capacité d’aménager des parcs accueillant des animaux de ferme. Une solution qui facilite les rencontres et la communication entre patients, personnel médical et familles.
L’hygiène n’est pas un obstacle à la présence des animaux
En 1994, dans sa thèse pour le doctorat vétérinaire, Myriam Septier explique que l’on peut pallier le problème d’hygiène en intégrant des animaux en bonne santé et en contrôlant leur reproduction. Il suffit donc d’appliquer ces principes dans les hôpitaux.
Dans les maisons de retraite, les règles d’hygiène sont encore plus simples : les chiens et les chats sont tatoués, lavés et brossés. Ils doivent également porter des colliers anti-puces et être vermifugés 2 à 3 fois par an.
Un animal ne crée pas de surcroît de travail pour le personnel
S’il s’agit d’un animal collectif, ce surplus n’a pas lieu d’être dès lors que l’arrivée de l’animal est bien préparée avec un personnel formé. Les associations de protection animale peuvent répondre à toutes les questions d’organisation, de prévention et d’hygiène. S’il s’agit des animaux des résidents, la plupart s’en occupent fort bien eux-mêmes.
Un animal n’est pas une source de nuisances
Beaucoup de directeurs d’établissements craignent le bruit ou les risques de chutes que pourrait provoquer la présence d’un animal. Or, chacun sait qu’un animal bien éduqué n’est ni encombrant, ni gênant. Il convient simplement de structurer sa présence, de lui préciser quelle est sa place et ce qu’on attend de lui.
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